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GETCOP

Le 29 nov. 2023
De 19h30 à 21h

Lieu En VISIOCONFERENCE et au DOMAINE DE L'ASNEE11, Rue de54600, Villers-lès-NancyFrance
ContactDr Bernard PAYRAU0615472353

Une nouvelle conférence du GETCOP sur les thérapies complémentaires

Une nouvelle conférence du GETCOP sur les thérapies complémentaires

Les thérapies complémentaires : de quoi parle-t-on ? et faut-il les évaluer ?

Nous vivons actuellement en France une forte contradiction par le fait que, d’une part un nombre important de la population française s’est adressé à un(e) praticien(ne) d’une ou de plusieurs médecines douces, et d’autre part il persiste une forte opposition à ces pratiques, notamment chez les décideurs.

En effet, une enquête menée par l’institut Harris interactive en octobre 2019(1), sur un échantillon de 1500 personnes, constatait que plus de 7 sur 10 avaient déjà utilisé au moins une fois dans leur vie une pratique de médecine douce. De plus, 86% d’entre elles avaient déclaré en avoir une bonne image.

Comment sortir de cette contradiction ? S’il n’y a pas de solution miracle, on peut au moins proposer deux pistes elles-mêmes complémentaires.

Pour engager un dialogue constructif, il importe de clarifier la façon de parler du sujet. Un exemple suffira à donner un aperçu du chemin à faire. Les termes employés pour nommer ces pratiques sont aussi divers que source de malentendus : 

  1. Pratiques non conventionnelles à visée thérapeutique (PNCAVT) pour l’Organisation Mondiale de la Santé qui en exclut celles qui ne font pas partie de la tradition du pays et classées médecines traditionnelles.
  2. Pratiques de soins non conventionnelles (PSNC) pour le Conseil National de l’Ordre des Médecins(2), qui en rapproche les dénominations « médecine traditionnelle », « médecines alternatives », « médecines complémentaires », « médecines naturelles », « médecines douces ».

Médecines douces, holistique ou alternative sont autant de formulations confondantes laissant dans la perplexité depuis fort longtemps les personnes même les mieux disposées(3). Ce qui est une invitation à éclaircir cette question parmi tant d’autres, rationnellement et à l’écart des controverses. "Médecine douce" encore utilisée par Harris en 2019 pourrait céder la place à "thérapies complémentaires" dont chacun des termes peut être étayé en accord avec la réalité concrète.

La seconde piste proposée ici est de répondre avec des arguments scientifiques solides, pour étayer la validité de ces méthodes et de leurs techniques d’application. Et ce dernier argument est en faveur d’évaluations de qualité.

Le GETCOP vous propose d’assister à une conférence,

  • Donnée par le Pr François PAILLE, professeur honoraire de thérapeutique à la Faculté de Médecine de Nancy.
  • Introduite par le Dr Bernard PAYRAU, médecin praticien orienté santé intégrative.
  • Suivie d’échanges avec les participants.

(1) Etude Harris interactive réalisée pour le compte de Santéclair, en ligne du 16au 25 octobre 2019 sur un échantillon de 1500 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus ; méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l’interviewé(e). https://harris-interactive.fr/opinion_polls/observatoire-des-parcours-de-soins-des-francais-theme-3-les-francais-et-les-medecines-douces/

(2) Conseil national de l'Ordre des médecins ; Publications ; Communiqués de presse ; Pratiques de soins non conventionnelles. https://www.conseil-national.medecin.fr/publications/communiques-presse/pratiques-soins-conventionnelles

(3) Leduc, F. (1986). Les médecines douces : alternatives ou compléments à la médecine traditionnelle. Santé mentale au Québec, 11(2), 160–174. https://doi.org/10.7202/030356ar; https://id.erudit.org/iderudit/030356arar

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